En tant qu’ancien conservateur et directeur du Musée des beaux-arts de Montréal, ancien conservateur de la plus grande et importante collection d’entreprise du Canada - la collection Lavalin, depuis acquise dans son entièreté par le Musée d’art contemporain de Montréal - à titre de conservateur indépendant d’expositions canadiennes et internationales marquantes, d’ancien critique d’importants quotidiens montréalais (français comme anglais), d’auteur pour des catalogues d’exposition et des revues d’art (aux États-Unis, en Allemagne et au Canada) et de président de l'Association des musées de la province du Québec durant deux mandats, j’affirme avec plaisir que Cerj Lalonde, dont j’ai suivi la démarche durant quelque vingt ans, peut être considéré comme un grand artiste en raison de la qualité de ses œuvres et de la reconnaissance qu’elles ont reçue nationalement et internationalement. Son travail se démarque par son originalité, son contenu, ainsi que par l’intégrité de son exécution. Ses œuvres ont été acquises par des collections publiques et privées, et elles ont été sélectionnées pour des expositions dont l’objectif était de montrer de nouvelles tendances significatives en art visuel et en peinture.