Errance dans la ville, associations entre des séquences sur des animaux enfermés dans les zoos et leurs représentations dans le mobilier, la décoration. Notations sur des habitudes de langage, l'enfermement, les comportements aberrants, la nostalgie de la sauvagerie, un musée d'histoire naturelle, les rapports masculin féminin. Filmée en super-huit et vidéo, cette bande a été réalisée après la fameuse affaire du Japonais cannibale qui a défrayé la chronique parisienne.
Générique/Crédits
Informations techniques
Documentation
«Ce sont maintenant des ours blancs (polaires?) que filme la caméra vidéo de Michèle Waquant. Ici, elle scrute le comportement erratique de ces animaux en captivité. En demi-teinte, des allusions font référence au monde sauvage et civilisé, au cannibalisme, à la virilité et à la féminité en une sorte de parcours entre la ville et le zoo.»
VIAU, René. «Le jeu des distances», 1992, p. 57.