Le portrait de Pauline
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Pauline, comme une rêverie, d'après les tableaux de Manet : le point de vue de la peinture et la question du mouvement. Pauline en gros plans, silencieuse, rieuse ou sérieuse. La voix de Pauline à Paris : son accent. La musique qu'elle écoute, les bruits qui l'entourent et sa vie qui continue à distance.

1984
Canada
5:46
Langue originale
Français

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Générique/Crédits

Réalisation
Michèle Waquant
Participation
Pauline Arsenault
Équipe technique
Michel de la Taulade
M.C. de Bourges
Production
Cairn

Informations techniques

Couleur
Couleur
Format d’image
4:3
Son
Mono

Documentation

Informations complémentaires

«[...] avec Le Portrait de Pauline (1984), l'axe France-Québec se resserre. Pauline est acadienne. Son accent est «charmant». On la voit en gros plan. Elle est entourée de fleurs, d'objets. Nous voyons Pauline à travers un portrait ou une nature morte comme une rêverie de «genre» à la manière d'un tableau de Manet. Les clins d'oeil et les citations à la tradition picturale sont explicites. Ici domine un souci du «beau» et de la composition harmonieuse. Comme dans ses photographies, Michèle Waquant investit la réalité quotidienne, parfois banale, d'un saturation artistique. Chez elle, la vie se doit d'être vue à travers les règles de l'art.»

VIAU, René. «Le jeu des distances», 1992, p. 57.

Images
Mots clés
Composition, Visage, Peinture, Tableau, Mouvement

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