«L'humour potache, le bavardage intelligent, le goût de l'absurde, les envolées pas vraiment contrôlées, les mots cyniques comme les bonnes formules: les auteurs [Ricardo Trogi, Patrice Robitaille et Jean-Philippe Pearson] sont à l'image du film [Québec-Montréal]. De leurs films, en fait, car il y avait déjà ce ton unique, à la fois pesant et léger, dans les courts métrages de Trogi, avec [...] le switch homme-femme dans One Night [...] On rit jaune, les idées sont brillamment illustrés et les acteurs, bien dirigés.»

RUER, Juliette. «Sans freins», Voir, Montréal, (1er août 2002), p. 12.