Trois princesses pour Roland, quatre personnes, une famille. Une famille drôle et dure, touchante et repoussante, comme toutes les familles ; une famille pauvre, comme beaucoup de familles ; une famille unique pour la réalisatrice qui la côtoie depuis l’enfance. Le suicide de Roland devient le prétexte qui permet d'aborder la pauvreté, l'amour et la haine, le présent et le passé, l’alcool, la violence. Avec un regard empreint de tendresse, la réalisatrice André-Line nous présente sa tante Madeleine, sa cousine Nathalie et sa petite-cousine Caroline. Trois générations de femmes dont les vies se ressemblent et se répètent, étonnamment. Un constat sans jugement, sans commentaire, laissant à chacun matière à réfléchir sur ce que nous léguons, sur ce dont nous héritons.
Trois princesses pour Roland
Prix et mentions
Nomination, Prix AQCC, meilleur long métrage québécois
Rendez-vous du cinéma québécois
Montréal
2003
Prix de la meilleure réalisation
Hot Docs
Toronto
2002
Prix Yolande et Pierre Perrault, meilleur espoir documentaire
Rendez-vous du cinéma québécois
Montréal
2002
Nomination, meilleur documentaire
Gala des Jutras
Montréal
2002
Réalisation
André Line-Beauparlant
Image
Robert Morin
Montage
Sophie Leblond
Son
Marcel Chouinard
Richard Jutras
Montage sonore
Martin Allard
Participation
Madeleine Robert
Nathalie Lebeau
Caroline Fuglewicz
Montage en ligne
Michel Giroux
Production
Danielle Leblanc
Coop Vidéo de Montréal
Couleur
Couleur
Format d’image
4:3
Son
Stéréo
Images
Mots clés
Condition humaine, Témoignage, Famille, Dépendance