Quiconque meurt, meurt à douleur
Un caméraman de téléjournal sur les talons, des policiers font une descente dans une piquerie. Mais les choses tournent mal : les junkies sont armés. Dans la débandade, le caméraman et deux policiers sont pris en otage. La maison est encerclée. Durant les trente-six heures de la durée du siège, et jusqu’à épuisement de leur stock, les assiégés forceront le caméraman à enregistrer leur version de l’existence.
Générique/Crédits
Scénario
Robert Morin
Musique originale
Guy Leblanc
Direction artistique
André-Line Beauparlant
Costumes
Sophie Lefebvre
Montage
Lorraine Dufour
Montage sonore
Marcel Chouinard
Recherche
Robert Morin
Production
Danielle Leblanc
Informations techniques
Couleur
Couleur
Documentation
Images
Mots clés
Police, dépendance, otages, caméraman